INSCRIPTION À L’ÉCOLE PRIMAIRE ET MATERNELLE Tous les enfants français et étrangers résidant à Moussy le Neuf peuvent être scolarisés dans notre école publique "L'ECOLE DU CHENE". Les enfants de 3 ans révolus dans l’année civile sont accueillis à l’école maternelle dès la rentrée de septembre, même s’ils n’ont pas encore trois ans. . Un enfant de plus de 6 ans est scolarisé en école élémentaire, sauf sur avis de la commission médicale.
LA THÉORIE: “Devoirs à la maison au primaire: À la sortie de l’école, le travail donné par les maîtres aux élèves se limite à un travail oral ou des leçons à apprendre.” source https://www.education.gouv.fr/les-parents-l-ecole-9899
HARCÈLEMENT Le harcèlement en milieu scolaire est un fléau. De nombreuses actions sont menées pour lutter contre ce type de comportements, mais l’actualité nous démontre depuis le début de l’année que la route reste longue. Le harcèlement mute, il se déplace sur les réseaux sociaux. La médiation entre pairs comme le dialogue avec les jeunes sur l’acceptation de la différence peuvent permettre de limiter les dérives, et faire en sorte que le.la jeune harcelé.e soit soutenu.e par ses camarades. LES DISPOSITIFS INSTITUTIONNELS Le programme de lutte contre le harcèlement à l’école, “pHARe”, a été généralisé cette année dans toutes les académies. Normalement, des élèves “ambassadeurs” devraient être nommés dans tous les collèges et lycées. Un adulte référent, enseignant ou personnel de direction, devrait également être identifié dans tous les établissements. Chaque année, le prix “Non au harcèlement” est organisé par le ministère de l’Éducation nationale, dans le cadre d’un partenariat avec la MAE. Il est possible d’y participer dès le CP et jusqu’en terminale. Les élèves créent un support (affiche, vidéo) pour lutter contre le harcèlement et le cyber-harcèlement. Les projets sont en général à remettre en février. La FCPE Paris soutient cette initiative et participe au jury académique. La cellule académique anti-harcèlement est par ailleurs très efficace ; et les dossiers que est joignable les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à 12h15 et de 13h à 17h30, et le mercredi de 9h à 13h30.
our les enfants avec des besoins particuliers, la rentrée est un moment clé surtout s’ils changent d’établissement. Pour les élèves et leurs parents c’est souvent un peu stressant : on se demande si les aménagements et les personnels attendus seront bien là. Pour que la rentrée de passe au mieux la communication avec l’école, le collège ou le lycée est essentielle pour s’assurer que les informations et les dossiers ont bien suivi l’élève et pour mettre en place le plus rapidement possible les aménagements nécessaires. C’est parfois pour les familles un parcours du combattant pour créer les dossiers, avoir les bons contacts, obtenir les aménagements préconisés… En cas de difficulté dans vos démarches, vous pouvez également solliciter votre conseil local FCPE ou notre administratrice référente ESH
NOUS DEMANDONS DES ENSEIGNANTS QUALIFIÉS, FORMÉS ET ÉPAULÉS POUR ENSEIGNER DANS DE BONNES CONDITIONS Cette année encore, le record du nombre d’absences d’enseignants non remplacées a été battu. Les enfants sont toujours les grands perdants de cette situation inacceptable. L’organisation, par différentes académies sur l’ensemble du territoire, de “job dating” de dernière minute pour recruter des enseignants volontaires ne peut être une solution pour les parents. La FCPE Paris revendique que des enseignants formés, qui travaillent dans de bonnes conditions, et suffisamment nombreux, puissent honorer la mission de service public de l’enseignement que l’État doit à tous les enfants de la République. Après des années de décompte des heures perdues, de manifestations, de pétitions, et de nombreux rendez-vous à l’Inspection ou au Rectorat, la réponse donnée comme quoi « il n’y pas assez d’enseignants », ne peut nous satisfaire : le temps est venu d’agir autrement. UN PROTOCOLE ORIGINAL Une procédure judiciaire coordonnée, grâce à des recours individuels, a été lancée pour dénoncer le non-remplacement des enseignants absents.Une première vague de recours (123 dossiers) va être déposée la semaine prochaine. Les dossiers seront déposés régulièrement au fil des mois. Des avocats, dont un spécialiste des questions d’éducation,ont accepté le challenge et l’action s’appuie sur une structure qui facilite l’accès au Droit et la Justice pour rendre les recours gratuits pour les parents. PARTICIPEZ À UNE ACTION COLLECTIVE INÉDITE La constitution du dossier implique la fourniture de preuves. Pour les élèves du premier degré (maternelle et élémentaire), s’il n’existe pas d’emploi du temps numérique, il faut produire une attestation sur l’honneur indiquant le nombre d’heures/journées d’enseignement en moins. Le juge pourra, ensuite, enjoindre l’administration de fournir les documents concernés. Tout courriel, message, photo de mobilisation sont aussi des preuves. Pour les élèves du second degré (collège, lycée), les familles ont accès à un emploi du temps numérique. L’application Pronote permet de générer des PDF hebdomadaires des emplois du temps qui font apparaître les absences non remplacées. Il faut les compiler et les conserver car l’ensemble ne sera plus accessible après la fin de l’année scolaire. Dans un premier temps, les dossiers seront adressés à l’académie de scolarisation afin qu’elle puisse documenter et répondre aux interpellations des parents. Devant le manquement manifeste à l’obligation de scolarisation, les dossiers seront ensuite transmis au tribunal administratif.
Ne tournons pas autour du pot !” : c’est le nom d’un appel à projet lancé dans les écoles Belges qui vise à améliorer l’état, l’accès, l’utilisation et la gestion de leurs sanitaires, par le biais d’aménagements matériels et d’actions de sensibilisation. Chez nos voisins Wallons, c’est la 5ème campagne de ce type : une occasion de nous interroger sur ce qu’il en est dans les écoles de nos enfants. CHIFFRES ACCABLANTS Un sondage réalisé en octobre-novembre 2019 auprès d’enfants de 6 à 11 ans et de leurs parents met en évidence que plus de 2/3 des enfants d’école élémentaire (70%) affirment qu’il est moins facile pour eux d’aller aux toilettes à l’école qu’à la maison. Plus précisément, 55% déclarent n’y aller que quand ils ne peuvent plus se retenir (et même 7% ne jamais y aller). Notons que ce phénomène massif concerne l’ensemble des enfants de 6 à 11 ans, sans distinction de sexe ou d’âge. Parmi ceux qui utilisent les sanitaires de l’école, 69% n’y font qu’uriner, et se retiennent systématiquement de déféquer sur le lieu scolaire. En 2014, déjà, une étude menée par l’ONS (Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement) dans le secondaire, soulignait que près d’un collégien et d’un lycéen sur trois n’utilisait jamais les toilettes scolaires. En 2007, 7% des écoliers n’utilisaient jamais les toilettes de leur école, et 43% ne le faisaient que quand ils y étaient vraiment obligés. Le peu d’évolution de ces chiffres depuis 12 ans est particulièrement préoccupant. POURQUOI UN TEL ÉVITEMENT ? Les réponses des enfants sont claires sur ce point : les toilettes de l’école sentent mauvais (66%), sont souvent sales et il y fait froid (59%). Travailler sur l’hygiène dans cette partie essentielle des locaux scolaires apparaît donc comme primordial, notamment sur la présence de papier, savon, essuie-mains tout au long de la journée. Cependant, la question de l’intimité et de la sécurité, bien que secondaire dans les réponses au sondage, est un point essentiel pour expliquer l’évitement des sanitaires par les élèves : 63% d’entre eux indiquent que les portes ferment mal, 51% considèrent que les toilettes sont « un lieu où des enfants embêtent d’autres enfants », sans parler des moqueries des camarades. Dans trop d’écoles, au prétexte de respecter leur intimité, les toilettes sont des zones de non-droit pour les élèves, du fait d’une absence totale de surveillance par les adultes. QUELLES EN SONT LES CONSÉQUENCES ? Se retenir durant toute la journée d’aller aux toilettes a des conséquences sur la santé de nos enfants : pour éviter d’utiliser les sanitaires, les enfants ne boivent pas (ou pas assez) pour la moitié d’entre eux, essayent de penser à autre chose (64%), serrent le ventre/les fesses (59%). Ces stratégies sont coûteuses, et les enfants le disent : « 70% des enfants concernés admettent que c’est difficile de se retenir, 67% que cela fait mal au ventre et 64% que cela les empêche de se concentrer sur leur travail. » Ainsi, l’accès aux sanitaires peut-il avoir des conséquences directes sur les capacités attentionnelles des élèves, et donc sur leurs apprentissages. De plus, au-delà de ces stratégies conscientes, et des douleurs abdominales qu’elles impliquent, le fait de se retenir de façon répétée et prolongée peut conduire à des infections urinaires, des constipations et des troubles d’incontinence urinaire et/ou fécale. Sur le plan psycho-affectif, il est également essentiel d’apprendre aux enfants à être à l’écoute de ses sensations corporelles : c’est à ce prix que nos enfants seront capables de manger selon leur satiété, de s’habiller de façon adaptée à la météo, de respecter et faire respecter leur propre corps et celui des autres. Ce sondage n’évoque pas les jeunes filles déjà pubères à l’école élémentaire qui, ne trouvant pas toujours de poubelles dans les sanitaires, se retrouvent dans l’impossibilité de changer de protection dans une certaine intimité : quels sentiments d’isolement et d’exposition peuvent alors les traverser et les mettre à mal ! Enfin, pour supporter des heures entières de collectivité, pouvoir retrouver quelques minutes d’intimité de temps en temps peut être d’un grand secours : quel adulte n’y a jamais eu recours au travail ou au cours d’une fête de famille ? Refuser ce refuge aux élèves peut constituer un facteur menant à un climat scolaire plus délétère. En 2008, Philippe Meirieu déclarait : « On ne dit pas assez à quel point cette impossibilité totale de trouver l’intimité nécessaire et l’environnement accueillant entraine (les écoliers) vers une sorte de déni complet de ces réalités physiques. » COMMENT Y REMÉDIER ? Selon ce récent sondage Harris, les enfants de 6 à 11 ans et leurs parents réclament non seulement plus d’hygiène, mais aussi un meilleur accompagnement pédagogique sur l’explication des règles qui s’appliquent dans les sanitaires. La FCPE a toujours milité pour que l’école soit pour nos enfants non seulement un lieu d’apprentissages mais aussi un lieu de vie. Cette année, la FCPE Nationale en a fait un thème incontournable en mettant cette question en avant dans ses vœux pour l’année 2020, rappelant que l’accès aux sanitaires est un enjeu de prévention et de santé publique. Des solutions existent, et la FCPE a depuis longtemps levé le tabou sur ce sujet, réclamant ; une vraie éducation des élèves à l’hygiène et à l’usage citoyen des espaces toilettes dans toutes les écoles et établissements parisiens la prise en compte des besoins des jeunes filles pubères dans les écoles et le secondaire Pour la prise en compte des besoins primaires de nos enfants dans leur école, la question des sanitaires doit être évoquée aux Conseils d’École et Conseils d’Administration sans tabou, avec une réelle exigence d’accueil respectueux de tous les élèves.
Le collège marque l’entrée des élèves dans l’enseignement secondaire. Il est organisé en quatre niveaux de la sixième à la troisième. Le diplôme qui clôture ce cycle est le Brevet des collèges. Les élèves sont scolarisés en collège en fonction de leur adresse de résidence, à l’exception des élèves scolarisés en cursus spécifiques. Parmi ces cursus spécifiques, les SEGPA (sections d’enseignement général et professionnel adapté ) accueillent des élèves qui préparent le Certificat de formation générale (CFG) ou le Brevet. L’accès aux cursus spécifiques en langues et cursus artistiques et sportifs et en DIEP se font sur dossier, de façon encadrée par le rectorat.
Vous avez des difficultés pour trouver un stage de 3e pour votre enfant ? On comprend, nous aussi … 🙂 Alors voici quelques astuces de parents FCPE : POURQUOI UN STAGE EN 3E ? cliquez ici SUR QUELS SITES TROUVER DES ANNONCES DE STAGE DE 3E ? https://www.monstage.paris/ stages proposées par les entreprises de Paris et sa région (une fois connecté, bien cliquer sur le bandeau rouge “Afficher les stages en liste” afin de les voir tous apparaitre (il faut faire un CV et un lettre de motivation – voir paragraphe suivant) https://stage3e.paris.fr/stage3eme/ Stages au sein des services de la Mairie de Paris (à consulter régulièrement car des stages apparaissent et disparaissent quasiment tous les jours) La plateforme https://www.monstagedetroisieme.fr/, comportant exclusivement des stages réservés aux élèves de REP et REP+ L’association Viens voir mon taf propose également des stages aux élèves en REP https://www.viensvoirmontaf.fr/ FAIRE SON CV ET SA LETTRE DE MOTIVATION : Tuto lettre de motivation La FCPE du collège Alain-Fournier a élaboré ce petit guide
HARCÈLEMENT Le harcèlement en milieu scolaire est un fléau. De nombreuses actions sont menées pour lutter contre ce type de comportements, mais l’actualité nous démontre depuis le début de l’année que la route reste longue. Le harcèlement mute, il se déplace sur les réseaux sociaux. La médiation entre pairs comme le dialogue avec les jeunes sur l’acceptation de la différence peuvent permettre de limiter les dérives, et faire en sorte que le.la jeune harcelé.e soit soutenu.e par ses camarades. LES DISPOSITIFS INSTITUTIONNELS Le programme de lutte contre le harcèlement à l’école, “pHARe”, a été généralisé cette année dans toutes les académies. Normalement, des élèves “ambassadeurs” devraient être nommés dans tous les collèges et lycées. Un adulte référent, enseignant ou personnel de direction, devrait également être identifié dans tous les établissements. Chaque année, le prix “Non au harcèlement” est organisé par le ministère de l’Éducation nationale, dans le cadre d’un partenariat avec la MAE. Il est possible d’y participer dès le CP et jusqu’en terminale. Les élèves créent un support (affiche, vidéo) pour lutter contre le harcèlement et le cyber-harcèlement. Les projets sont en général à remettre en février. La FCPE Paris soutient cette initiative et participe au jury académique. La cellule académique anti-harcèlement est par ailleurs très efficace ; et les dossiers que est joignable les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à 12h15 et de 13h à 17h30, et le mercredi de 9h à 13h30.
our les enfants avec des besoins particuliers, la rentrée est un moment clé surtout s’ils changent d’établissement. Pour les élèves et leurs parents c’est souvent un peu stressant : on se demande si les aménagements et les personnels attendus seront bien là. Pour que la rentrée de passe au mieux la communication avec l’école, le collège ou le lycée est essentielle pour s’assurer que les informations et les dossiers ont bien suivi l’élève et pour mettre en place le plus rapidement possible les aménagements nécessaires. C’est parfois pour les familles un parcours du combattant pour créer les dossiers, avoir les bons contacts, obtenir les aménagements préconisés… En cas de difficulté dans vos démarches, vous pouvez également solliciter votre conseil local FCPE ou notre administratrice référente ESH
NOUS DEMANDONS DES ENSEIGNANTS QUALIFIÉS, FORMÉS ET ÉPAULÉS POUR ENSEIGNER DANS DE BONNES CONDITIONS Cette année encore, le record du nombre d’absences d’enseignants non remplacées a été battu. Les enfants sont toujours les grands perdants de cette situation inacceptable. L’organisation, par différentes académies sur l’ensemble du territoire, de “job dating” de dernière minute pour recruter des enseignants volontaires ne peut être une solution pour les parents. La FCPE Paris revendique que des enseignants formés, qui travaillent dans de bonnes conditions, et suffisamment nombreux, puissent honorer la mission de service public de l’enseignement que l’État doit à tous les enfants de la République. Après des années de décompte des heures perdues, de manifestations, de pétitions, et de nombreux rendez-vous à l’Inspection ou au Rectorat, la réponse donnée comme quoi « il n’y pas assez d’enseignants », ne peut nous satisfaire : le temps est venu d’agir autrement. UN PROTOCOLE ORIGINAL Une procédure judiciaire coordonnée, grâce à des recours individuels, a été lancée pour dénoncer le non-remplacement des enseignants absents.Une première vague de recours (123 dossiers) va être déposée la semaine prochaine. Les dossiers seront déposés régulièrement au fil des mois. Des avocats, dont un spécialiste des questions d’éducation,ont accepté le challenge et l’action s’appuie sur une structure qui facilite l’accès au Droit et la Justice pour rendre les recours gratuits pour les parents. PARTICIPEZ À UNE ACTION COLLECTIVE INÉDITE La constitution du dossier implique la fourniture de preuves. Pour les élèves du premier degré (maternelle et élémentaire), s’il n’existe pas d’emploi du temps numérique, il faut produire une attestation sur l’honneur indiquant le nombre d’heures/journées d’enseignement en moins. Le juge pourra, ensuite, enjoindre l’administration de fournir les documents concernés. Tout courriel, message, photo de mobilisation sont aussi des preuves. Pour les élèves du second degré (collège, lycée), les familles ont accès à un emploi du temps numérique. L’application Pronote permet de générer des PDF hebdomadaires des emplois du temps qui font apparaître les absences non remplacées. Il faut les compiler et les conserver car l’ensemble ne sera plus accessible après la fin de l’année scolaire. Dans un premier temps, les dossiers seront adressés à l’académie de scolarisation afin qu’elle puisse documenter et répondre aux interpellations des parents. Devant le manquement manifeste à l’obligation de scolarisation, les dossiers seront ensuite transmis au tribunal administratif.
La FCPE, les conseils locaux comme le conseil départemental, est souvent sollicitée par des parents qui souhaitent identifier des interlocuteurs fiables. Le contexte pandémique a aggravé la détresse psychologique, sociale et scolaire des enfants. Il parait important que les élèves et parents puissent avoir à portée de main des numéros ou des dispositifs vers lesquels se tourner. Beaucoup d’actions sont mises en place au niveau national, régional et de la Ville de Paris. Il est parfois difficile de s’y retrouver. Nous avons recensé les principaux interlocuteurs vers lesquels nous guidons les parents. Une grande partie des numéro verts sont anonymes, ce qui rassure beaucoup les adolescents qui ont besoin d’un soutien ou d’une aide. Un autre site utile : https://www.santepsyjeunes.fr/
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